mardi 13 octobre 2009





















C'est la lecture des textes épiques et mythologiques irlandais Qui a provoqué l'écriture de mes romans «Les Chroniques d'Arcturus». Bonheur d'écrire, mais le chanteur que je suis a toujours éprouvé Une frustration de ne pourvoir Exprimer sur scène CES mondes si différents.
Jusqu'à ce que je traduise «L'Histoire du Cochon de Mac Dathó» Enfin je peux faire Participer le public à la démesure des Celtes! LUN. Bonheur complet Est.

L'histoire que je vais vous raconter N'EST PAS une histoire sans queue ni tête. C'est une histoire à deux queues et deux têtes. De Cochon et de chien. Chien De ... sans tête! Ainsi commence «l'Histoire du Cochon de Mac Dathó». Le défi: le conter à un public d'aujourd'hui, par-delà les abîmes; Celui du temps et Celui séparant les civilisations. Accrochez vos imperméables aux Portemanteaux sortez Et dans la cour! Ce conte, truculent, violent, déjanté, «pré-» rabelaisien, mis en scène par Jean-Marc Derouen, dans lequel Gilles Servat revèle ses dons d'acteur, s'opposent deux peuples: les Connachta ET LES Ulaid. Le public participe à cette histoire et la tension monte! Ce sont les textes épiques (celui-ci en est un!) Et mythologiques irlandais Qui Ont inspiré à Gilles Servat ses romans «Les Chroniques d'Arcturus» (Il écrit en ce moment le septième!). Donc c'est la première fois Qu'il Peut joindre, sur scène, les deux aspects de fils L'Expression: Les Romans et la scène. Et c'est un grand plaisir pour lui! En seconde partie, c'est le chanteur Qui revient pour un tour de chant Donnant La Part belle à l'Irlande, avec des compositions de Gilles Servat auxquelles Ulaid et Connachta Sont invités à Participer de la voix, ensemble pour une fois!

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